samedi 30 juin 2012

Une idée de la future réalisation

Voila ce que donnera l'atelier de Philippe, il s'agit du bâtiment au premier plan, la maison au second plan sera construite plus tard, ceci est une autre aventure !

Vous allez pouvoir suivre, semaine après semaine l'avancement de ce projet, que Philippe m'a demandé de raconter sur un blog pour lui, et je peux déjà vous dire que vous ne serez pas déçu ....

samedi 2 juin 2012

Creation de la fosse de l'atelier

"Bonjour Thierry.
Voici les dernières photos du chantier.
La pelleteuse que nous avons loué pour creuser les fondations de la maison à servi aussi à creuser la fosse dans l’atelier. 




Le phénomène de foisonnement est énorme. Pour une fosse de 6m3, le maçon a estimé le tas de terre à 10m3.

Par endroits, la pelleteuse ne convient pas. Il faut attaquer au marteau piqueur.
Bien amicalement,Philippe."

lundi 14 mai 2012

Par ce beau samedi ensoleillé nous nous sommes élevé très haut le maçon et moi.
La journée était programmée pour la pose des faîtières. Ce qui fut fait dans la matinée.



A la jonction des deux sommets une pièce en T vient coiffer les deux faîtières.


Difficile d’aligner parfaitement tout cela mais à 8m de hauteur même les pigeons
ne s’en plaindront pas trop !

Il faut ensuite poser les gouttières car maintenant l’eau du toit ruisselle sur les murs et
inonde le bâtiment par capillarité. Pour cela, les chevrons destinés au maintient du bardage,
porteront aussi les supports de gouttières.

On selle chimiquement des chevilles dans les joints des parpaings.
Maintenant il faut trouver un moyen de fixer la gouttière (un cheneau rectangulaire )
sur le sommet des chevrons et de régler la pente d’écoulement. 

Pour cela, les bons conseils sont les bienvenus.

jeudi 10 mai 2012

Finition sur la toiture

Les 2 faces de toiture côté Nord sont couvertes.
C’est une bonne chose sachant que 6 jours plus tôt des trombes d’eau s’abattaient sur le bâtiment. Aujourd’hui c’est encore une pataugeoire.
Le versant côté Sud est également couvert.
Le pignon a été cloisonné avec un CTP hydrofuge et habillé d’un bardage PVC aspect bois.
Ce même bardage garnira l’ensemble du bâtiment.

mercredi 2 mai 2012

Porte et couverture

Les serruriers (ceux qui ont soudé les corps de chauffe de nos Blackstaff ) ont enfin livré la porte et préparé le montage.
Pour la circonstance, Laurent a suivi le camion de livraison avec sa voiture de collection fraichement restaurée (une SIMCA Vedette de 1955 )
A moi de sceller les pivots et les appuis dans le béton.
Quelques heures de travail plus tard, les gonds et les pivots sont posés et la porte est en place.
Et voila le futur chantier naval en partie sécurisé.
La pluie ne nous a pas facilité la tâche pour continuer la couverture.
La vigilance et les conseils du professionnel étaient les bienvenus.
Les panneaux transparents sont couverts par 12cm de tôle inutile. on retaille et l'on gagne 1/10 de m2 de lumière.
 Les tôles de noue servent de déversoir à l’angle des deux toitures.
Voila aujourd'hui, l'avancement des deux versants.

dimanche 22 avril 2012

Début de pose de la toiture

Après la charpente une grande étape aujourd’hui consiste à couvrir le bâtiment avec des panneaux de tôle à la teinte et à la forme d’une tuile normande.
 Plus rapide et plus facile à poser que les tuiles, il faut 2 panneaux de 4 mètres pour couvrir un rang.
Les vis sont auto-perceuses et très efficaces pour traverser la tôle de 0,7mm. On fixe une tuile sur deux, donc environ 2000 vis seront nécessaires.
Comme une tapisserie : l’envers vaut l’endroit !
Le soleil révèle la vrai couleur ‘ Terra Cota ‘.
On installe une deuxième plate forme en haut du mûr côté Est. Tellement plus pratique d’avoir les pieds à la hauteur du toit !

mercredi 18 avril 2012

Finition de la charpente

On passe maintenant à l’étage supérieur pour installer des solives qui porteront le plancher du petit grenier, au-dessus de la chambre d’amis.






En posant un faux plancher, nous sommes à bonne hauteur pour ajuster et fixer les chevrons et les liteaux de la charpente. Elle doit se raccorder avec la charpente principale.
 Débit d’un madrier pour fabrication des sablières.
Elles permettent de fixer les chevrons sur le sommet des murs. Il y a eu un gros travail de découpe d’encoches en angle pour l’appui des chevrons. Elles sont sellées chimiquement avec des tiges filetées dans le béton du chaînage. 
Les chevrons qui dépassent du mur sont raccourcis pour le passage des gouttières, cependant la scie égoïne n’est pas toujours appropriée. Une fois de plus il est nécessaire de faire appel au professionnel de service ! 
 








Une petite pose clôture la fixation du dernier liteau sur la partie principale de la toiture.




La pose des bois est terminée et prête à recevoir la couverture.




Une vue d’ensemble permet de vérifier la linéarité et le raccord des deux pentes que l’on appelle la noue.
Il n’y a pas de panne intermédiaire sous les deux pentes du petit pignon.
Les chevrons doivent être fixés fermement sur la sablière.



Tu avais raison Thierry, cette panne intermédiaire gène l’accès au grenier. Elle va être supprimée, car
aucune utilité dans la structure de la charpente. Seuls les supports métalliques feront la liaison entre la maçonnerie et les chevrons les plus proches.

 La dimension des matériaux choisis est rassurante !